Les croisiéristes sont 7700 en 1966, et 14 500 deux ans plus tard.
C'est un baume financier.
Par ailleurs, elle envisage de doter le FRANCE de tables de jeux, convaincue
que la roulette et la baccara vont lui amener une nouvelle clientèle.
Las ! L'administration française reste intraitable :
pas de dérogation donc pas de casino sur le paquebot.
Son plus dangereux concurrent, le Queen Elisabeth II de la Cunard,
dispose pourtant de tables de roulette, de blackjack et de jeux de dés.
L'année 1972, un premier tour du monde est une splendide réussite.
Il amène l'espoir d'une nette amélioration des comptes.
Mais la crise du pétrole de 1973 sonne comme un coup de massue.
Et la croisière autour du monde de 1974, plus prestigieuse encore que la première
est largement déficitaire.
Cette année là, le déficit d'exploitation du FRANCE s'élève à 120 millions de francs...
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