dont à la fin des croisières on embarquait près de 15 000 bouteilles,
sous la rubrique " Colis Familiaux ",
et que l'on distribuait aux acheteurs la veille de l'arrivée au Havre .... pour éviter toute tentation.
C'était aussi l'envahissement des doudous enturbannées,
vendeuses de citrons verts pour le punch.
Pendant ce temps, à la poste de FORT de FRANCE,
s'étirait la longue file des garçons du bord qui expédiaient par mandats
les gains de leurs croisières.
C'était, enfin, l'accostage de grosses barges, où les mâts de charges du paquebot
venaient puiser leurs palanquées de sacs de linge propre quel'on échangeait contre le sale,
lequel repartirait par cargo sur le HAVRE, en prévision des croisières d'avril en Méditerranée.
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