La sécurité avant tout

Pour ce qui est du risque incendie, il est réduit au minimum par l'adoption de la réglementation de la convention LONDRES de 1948 sur " la sécurité et la vie humaine ne mer " qui imposait à tout navire un cloisonnement incombustible et qui constituait à interdire à bord tous les vastes locaux ainsi que l'utilisation du bois dans la constitution des cloisons.

Pour FRANCE,
les ingénieurs sont allés au-delà de ces exigences en excluant totalement l'utilisation du bois jusque dans la décoration du navire. Tout matériaux combustible est éliminé systématiquement pour les revêtements et habillages de cloison,et pour le mobilier.
Il n'y a donc pas le moindre bout de bois à bord, que ce soit en placage ou en massif,
exepté le revêtement des ponts extérieurs sur les plages arrières, les pianos à queue du théatre
et des salons de musiques et, ce, pour l'anecdote : Le billot du boucher et la baguette du chef d'orchestre !

Il faut dire que la Compagnie Générale Transatlantique a vu brûler nombre de ses navires,
dont le LAFAYETTE, le PARIS, l'ATLANTIQUE et bien entendu le NORMANDIE

Les dispositifs les plus modernes de détection, de transmission d'alerte avec poste de sécurité central, et d'extinction, sont en outre prévus.

Quand à la sécurité de navigation, elle est obtenue au maximum par la mise en place d'appareils
de navigation, de sondage et de repérage dans la brume, les plus perfectionnés.